Bon Soir,
J'ai une petite idée de l'interprétation de ce rêve que j'ai fait, mais votre interprétation ex nihilo, sera la bienvenue.
Rêve entre 5 et – h. du matin du 27.08.2011.
Je rencontre ou connaîs un couple dans l’Immobilier. <ce n’est pas le cas, je vis en ermite> ! Tous deux sont dans une impasse financière qui entraînerait une dèche certaine.
Ils semblent connaître une femme qui fait leur ménage, mais qui aurait beaucoup d’argent <secret ou non, le rêve ne le dit pas> !
Ils décrètent de l’assassiner et racontent cela devant moi, dont ils ne semblent pas se méfier.
Ils me sollicitent pour la faire venir à une heure fixe, afin qu’ils exécutent leur forfait.
Je suis choquée, mais n’en dis rien. Curieusement dans mon rêve je me sens agir comme si j’allais mettre tout en œuvre pour cela, quoiqu’il advienne.
Ces tristes personnages me font la convoquer dans un hôtel, mi-colonial d’aspect, autrefois chic, aujourd’hui un peu désert, mais ayant encore du personnel stylé et un vaste hall de réception.
Je monte dans un ascenseur et y trouve des ballets le long du mur, à la verticale et autres plumeaux, divers instruments, dont tous les manches sont blancs. <J’en sors, je ne sais pas comment> ! Arrivée en haut de mon parcours, je sors et vois la tête d’un cheval bai, la tête regardant la droite, le corps putativement à gauche. Son maître semble le calmer. Je ne trouve pas cela étonnant. L'animal ne semble pas me voir, ni être gêné par le bruit de l'ascenceur.
Je me trouve alors dans l’appartement ou le crime doit se perpétrer. Les futurs assassins sont là et moi ouvertement présente. <Je décide intimement de les dénoncer, mais j’ai peur de leurs représailles> ! Qui prévenir, que faire et comment le faire ?
Je leur dis souhaiter ranger des ‘dossiers importants’ dans des cotes de carton dans ma voiture. Je signale descendre les y mettre.
Mon automobile est noire et à son coffre est à l'avant, un peu comme les Simca 1000 d’autrefois. Je range tout dans cet habitacle que j’ai du mal à fermer et recherche ma clé de contact pour mettre en route ma voiture, pour aller prévenir ! Qui, comment, je souhaite m’y rendre.
Je cherche, j’ai perdu ma clé, ou l’ai-je oubliée là-haut chez les assassins ?
Je crois que ce sont eux qui me l’ont prise. Ils ont fait mine de me croire des-leurs, mais savent mon aversion envers les comportements douteux. Soudain, j’ai peur = peur d’eux, peur de moi : Vais-je parvenir à les dénoncer ?
Je retourne dans le hall de l'hôtel - vaste et désert - , mon pas me dirige vers la réception , déterminée à les dénoncer.
J’aperçois la Réceptionniste et lui demande le Directeur de l’Hôtel, …
Mon rêve s’achève, craignant que ce soit moi qui sois assassinée par la suite, car rien n’est plus jamais secret.
Je me réveille en sursaut, contente de ne plus être dans un choix à faire, alors que dans la vie, tout me semble être très clair, quant à des comportements douteux.
Merci pour votre éclairage lapidaire.
:idea:
J'ai une petite idée de l'interprétation de ce rêve que j'ai fait, mais votre interprétation ex nihilo, sera la bienvenue.
Rêve entre 5 et – h. du matin du 27.08.2011.
Je rencontre ou connaîs un couple dans l’Immobilier. <ce n’est pas le cas, je vis en ermite> ! Tous deux sont dans une impasse financière qui entraînerait une dèche certaine.
Ils semblent connaître une femme qui fait leur ménage, mais qui aurait beaucoup d’argent <secret ou non, le rêve ne le dit pas> !
Ils décrètent de l’assassiner et racontent cela devant moi, dont ils ne semblent pas se méfier.
Ils me sollicitent pour la faire venir à une heure fixe, afin qu’ils exécutent leur forfait.
Je suis choquée, mais n’en dis rien. Curieusement dans mon rêve je me sens agir comme si j’allais mettre tout en œuvre pour cela, quoiqu’il advienne.
Ces tristes personnages me font la convoquer dans un hôtel, mi-colonial d’aspect, autrefois chic, aujourd’hui un peu désert, mais ayant encore du personnel stylé et un vaste hall de réception.
Je monte dans un ascenseur et y trouve des ballets le long du mur, à la verticale et autres plumeaux, divers instruments, dont tous les manches sont blancs. <J’en sors, je ne sais pas comment> ! Arrivée en haut de mon parcours, je sors et vois la tête d’un cheval bai, la tête regardant la droite, le corps putativement à gauche. Son maître semble le calmer. Je ne trouve pas cela étonnant. L'animal ne semble pas me voir, ni être gêné par le bruit de l'ascenceur.
Je me trouve alors dans l’appartement ou le crime doit se perpétrer. Les futurs assassins sont là et moi ouvertement présente. <Je décide intimement de les dénoncer, mais j’ai peur de leurs représailles> ! Qui prévenir, que faire et comment le faire ?
Je leur dis souhaiter ranger des ‘dossiers importants’ dans des cotes de carton dans ma voiture. Je signale descendre les y mettre.
Mon automobile est noire et à son coffre est à l'avant, un peu comme les Simca 1000 d’autrefois. Je range tout dans cet habitacle que j’ai du mal à fermer et recherche ma clé de contact pour mettre en route ma voiture, pour aller prévenir ! Qui, comment, je souhaite m’y rendre.
Je cherche, j’ai perdu ma clé, ou l’ai-je oubliée là-haut chez les assassins ?
Je crois que ce sont eux qui me l’ont prise. Ils ont fait mine de me croire des-leurs, mais savent mon aversion envers les comportements douteux. Soudain, j’ai peur = peur d’eux, peur de moi : Vais-je parvenir à les dénoncer ?
Je retourne dans le hall de l'hôtel - vaste et désert - , mon pas me dirige vers la réception , déterminée à les dénoncer.
J’aperçois la Réceptionniste et lui demande le Directeur de l’Hôtel, …
Mon rêve s’achève, craignant que ce soit moi qui sois assassinée par la suite, car rien n’est plus jamais secret.
Je me réveille en sursaut, contente de ne plus être dans un choix à faire, alors que dans la vie, tout me semble être très clair, quant à des comportements douteux.
Merci pour votre éclairage lapidaire.
:idea: